Le blog du Dr Vet Géraldine Blanchard
Ration ménagère du chien et du chat par une spécialiste en Nutrition Clinique Vétérinaire
Maladie
Question d’un internaute
Mon chien a une insuffisance rénale. On doit donc éviter le phosphore. Votre complément comprend de la levure de bière qui contient du phosphore. Pouvez-vous m’expliquer ? Merci de votre réponse.
Réponse : La teneur en phosphore de la levure de bière est faible et la quantité consommée et petite. Au final, cela représente une quantité infime de phosphore (il y a … Lire la suite
Aux États-Unis, on dénombre près de 100 millions de chiens et de chats en surpoids ou obèses, soit respectivement 59% de la population féline et 54% de la population canine américaine.
Après avoir recensé le top 10 des maladies liées à l’obésité du chien et du chat (cliquez ici pour accéder à l’article), la compagnie d’assurances américaine Nationwide® s’est intéressée… Lire la suite
De quoi donner des arguments aux adeptes du cru. Attention au respect des règles d’hygiène et de bon sens…
La première étude mondiale sur les facteurs de risque des maladies fréquentes du furet (troubles digestifs, troubles de la glycémie et insulinome, pathologie dentaire) vient d’être publiée et elle est en accès libre (Open access).
Question d’un internaute:
Bonjour, mon chien de 13 ans ne mange plus depuis le changement de croquettes pour un aliment pourtant adapté pour insuffisance rénale, il refuse toutes les marques.
Peut-on proposer un repas fait maison pour insuffisance rénale ?
Merci.
Cela arrive, malheureusement. Un aliment industriel diététique peut en effet être proposé à un chien présentant… Lire la suite
La stérilisation du chat est en fait une castration (stériliser signifie tuer tous les organismes vivants, cela vaut pour les outils des chirurgiens, ou pour les boîtes de conserve, mais par pour les matous et minettes).
On entend de plus en plus parler de neutre ou neutered … cela vient des noms anglo-saxons (to neuter signifie castrer en anglais).
Il existe une corrélation établie depuis longtemps entre le surpoids du propriétaire et celui de son chien (décrit déjà en 1970 par Mason). Ce constat